Jeudi 1er juin 2006 à 21:04

Lundi 29 mai 2006 à 9:38

Je ferme les yeux
Nos lèvres se touchent
Nos mains explorent nos corps
Une intimité se créée
Des sentiments plus fort se révèle
Avant c'était un rêve
Aujourd'hui une source de malaise
Si les doutes sont plus forts
Que les sentiments que l'on éprouve
Effectivement autant s'oublier
J'en ai bien du mal
Mais je n'ai d'autre choix

Vendredi 26 mai 2006 à 23:22


Le temps avance sans moi.
Plus il avance et plus je me sens mal.
Le temps me laisse à cet endroit.
Plus il avance et plus je me sens pas à ma place.
Le temps me fait mal.
Plus il avance et plus mon malaise est présent.
Le temps me fait sentir seul.
Plus il avance et plus je me rends compte que c'est vrai
 

Jeudi 25 mai 2006 à 20:58

Tu es parti
laissant en moi ce vide étrange
des rêves gris, ce calme plat
et la mélancolie
Le fil rouge qui nous reliait est devenu plaie ouverte sur mon poignet offert
Tu as rompu le fil qui me maintenait attachée à la vie
Tu l'as rompu
et ma mélancolie
me submerge, envahit
chaque recoin de mon âme
Je sens le sel sous mes paupières
Une mer rouge se répand autour de moi
Je m'y noie, dans mes regrets
et mon cœur pleure les jours passés
et ceux qui s'écoulent loin de toi
Hors de ça, rien n'existe
Le monde autour de moi n'est plus
kaléidoscope d'images et de couleurs, d'odeur et de sons
se fondent
dans le gris de l'oubli
le vide étrange qui m'envahit
et le rêve –
Le fil rouge se renoue autour de mon doigt
–et le sang sur le sol


juu-no-yume

Mercredi 17 mai 2006 à 22:56


Le temps avance et ma solitude également
Que ce soit sentimentalement ou amicalement
J'ai l'impression que je fais horreur
Peu de mots et peu de parole
Ma vie doit-elle être que malheur?
D'éphémères amitiés folles ?
J'ai déjà envie d'être au bout du chemin pour ne plus vivre ce genre de chose motel.
Tout est sûrement d'en ma tête mais à force de le vivre et de le revivre cela semble réel

Mercredi 17 mai 2006 à 20:45

Seul dans la rue, la musique dans les oreilles.

Je marche, je marche encore et encore, sans but.

Je regarde le ciel pas une étoile visible,
j'aimerais qu'il pleuve.

L'ambiance que sa pourrais créer, l'obscurité et la pluie seront la parfaite représentation de mon état intérieur.

Si la pluie tombait,
elle pourrait cacher les larmes que je retiens.

Toutes ces images toutes ces pensées seraient laver
et je pourrais revivre.


Rien.


J'arrive chez moi la tête emplie de ces choses, qui me gâche mon sommeil

Dimanche 14 mai 2006 à 9:52


.


..


...


....


.....


Je voulais passer ce pont avec toi, voir ce qu'il y avait de l'autre coté.J'ai fait la moitié du chemin puis-je t'ai attendu. Mais rien, pas un mouvement.Tu es arrêté net, sans rien dire. J'ai bien essayé de te tirer mais tu n'as pas bougé.Je t'attends encore au milieu mais je te tourne le dos, j'attends de voir ce que tu va faire.Je vais devoir continuer tout seul sur ce chemin car  tu ne dis toujours rien.
Mais arriver de l'autre coté, je ne saurais quoi faire.

Dimanche 14 mai 2006 à 9:45

Un geste,
une odeur,
un son,
une image,
une sensation,
un petit rien qui font qu'elles arrivent.
Le corps tremble, l'esprit se brouille les larmes coulent,
tout devient hors contrôle.
Une solution ?
A chaque fois il faut trouver autre chose.
Il y en a bien une commune mais …

Dimanche 14 mai 2006 à 0:42

Jeudi 11 mai 2006 à 21:32

Quand les larmes montent, et tombent,
La crise arrive, j'y succombe,
Doutes et peurs surgissent,
Avec les paroles, agissent...


Juste envie de t'embrasser...


Mes larmes sont tombées,
Avec elles, j'ai succombée,
Doutes et peurs ont leurs places,
Et alors des chaînes m'enlacent...


...Je t'aime...



Taranea

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