Lundi 18 février 2008 à 0:59


L'écran pour seule lumière, Blunt en fond sonore, je suis là ,emplie d'interrogations.
      Mon état de hier et certaines questions les ont fait ressortir. 
A cette heures, plus moyen de me dérober aucun moyen de changer les idées,
qui ce balade dans ma tête.

      C'est étrange c'est au moment ou j'ai le plus besoin et envie de dormir
       que ce genre de chose arrive.

Noyer sous une multitude de questions et de sentiments,
tellement nombreuses au un point d'en avoir du mal à respirer.

      A quel point on peut ce sentir dévaloriser face a certaines personnes ?
Mes différences sont des obstacles à mon bonheur ?

      Ai-je peur de souffrir encore ?
Question sans réel dimension mais qui pourtant se substitue à mon sommeil.

Tony 18 Février 2008  01:00

Dimanche 23 septembre 2007 à 15:17


Lundi 4 décembre 2006 à 0:46

Si mon cœur n'était pas si vide, je ne souffrirai pas tant de tous ces moments passer avec toi. Mais je suis seul, vu ma vie actuelle je comprends bien que personne ne veuille de moi. Ce n'est pas tant le fait de n'avoir personne qui me gêne mais le fait que je pense toujours à toi, à toi qui m'as fait tant de mal. Je revois tous ces moments, tous ces mots que tu ma dis, toutes ces lettres, … tant de mensonges. Comment une personne fait-elle pour mentir autant ?
J'ai été aveuglé par mes sentiments. Aujourd'hui se n'est pas l'amour qui me fait perdre la raison mais les drogues et l'alcool qui depuis ce jour me tue petit à petit. Ma chute n'a pas encore trouvé sa fin mais a ce rythme ma vie va en trouver une. Moi, je n'ai jamais put t'oublier, si tu lis ces mots j'espère me rappeler à ton bon souvenir mais là aussi je dois me faire pas mal d'illusions.


  De Anthony à Anna


Dimanche 23 juillet 2006 à 11:39


Vendredi 7 juillet 2006 à 14:18

Je veux m'en aller, si je reste, je ne ferais que m'enfoncer. Trop de souvenir, trop de ressentiments me tir par le fond. Quand mon esprit s'arrête sur son souvenir, mon cœur se sert, les larmes coulent sur mes joues et même par moment mon corps tremble et un sentiment d'étouffement s'installe. On dit qu'en amour on a qu'une seule gagnante, je pensais que c'était elle mais il est vrai que je n'ai jamais eu de chance en quoi que ce soit. Si je suis ce que certains au vu de mes actes pourraient juger de maso, là la douleur est encore trop présente pour réouvrir cette plaie. Donc si je devais la revoir, je ne voudrais pas en parler. Même si dans un cas comme de l'autre je souffrirais. Je fuis, fuir... j'ai voulu faire face, je lui ai tendu les ciseaux. Ciseaux qui devaient couper ce fil rouge qui semble  nous lier, mais ils sont toujours là et ce lien toujours présent en mon esprit. J'aurais tant de chose à lui dire mais  comme ce texte, ils resteront consigné dans ce journal

Tony le 7 juillet 2006

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