Lundi 19 septembre 2005 à 17:36


Je m'présente je m'appelle Clara
Je suis clown triste à l'opéra
Mon univers cet Hôpital
Je suis désordonnée mentale
J'ai un trapèze et des amis
Et sans filet , sans interdits
Tous ensemble on brûle la piste
Quel beau métier la vie d'artiste

Enchanté moi je suis Lucy
Je collectionne les insomnies
Droit au coeur j'ai des coups de soleil
Que j'attrape pendant mon sommeil
Les yeux fermés je déambule
L'homme en blanc me dit somnambule
Mais lui n'a jamais rien compris
Que les rêves  aussi ont un pays

Je suis qui bon me plait
Je vais là où je vais
Devinez donc qui je suis
Qui me précède et où je vis
Je suis qui bon me semble
Et qui se ressemble s'assemble
Plus on est de fous plus on rit
Allez rejoins la compagnie
Viens danser le tango du qui

Mon visage vous dit quelque chose
Non je n'vois pas je m'appelle Rose
J'existe à l'encre sympathique
Heureuse en tout, mais amnésique
On creuse a fond dans ma mémoire
Pour reboucher ces trous bizarres
Moi j'aime assez ces tourbillons
C'et comment déjà votre nom ???

Je suis qui bon me plait
Je vais là où je vais
Devinez donc qui je suis
Qui me précède et où je vis
Je suis qui bon me semble
Et qui se ressemble s'assemble
Plus on est de fous plus on rit
Allez rejoins la compagnie
Viens danser le tango du qui

Entrez, entrez c'est moi Lison
Moitié femme et moitié
Mon siamois ne va pas tarder
Je m'en vais vous l'présenter
Il est presque poisson volant
Ne me ressemble pas vraiment
On nous parle de schizophrénie
Mais a deux c'est tellement mieux la vie

Je suis qui bon me plait
Je vais là où je vais
Devinez donc qui je suis
Qui me précède et où je vis
Je suis qui bon me semble
Et qui se ressemble s'assemble
Plus on est de fous plus on rit
Allez rejoins la compagnie
Viens danser le tango du qui

Je ne m'présente pas, je ne m'appelle plus
Raison de ma raison ils ont eu
Je n'ai plus de nom, plus d'histoire
Mon cabaret ferme ce soir
Abasourdie sous les néons
Les saltimbanques ont mis  les bouts
Ils se sont fait une raison
juste avant de devenir fous


Olivia RUIZ

Dimanche 18 septembre 2005 à 20:48

Je voulais vous parler de ce site car j’ai réellement eu un gros coût de cœur pour ce blog car j’ai l’impression que c’est moi qu’il l’ai réalisé.

Je comprends par là que je ressens les mêmes émotions dans les textes qui si trouvent que dans les miens. C'est un sentiment troublant.

Merci à la réalisatrice de ce blog de l’avoir crée.


sentiments-devastateurs

Samedi 17 septembre 2005 à 14:54



 


Et si ce soir je refaisais ma vie...
Et si ce soir je pouvais tout changer...
Et si ce soir je pouvais t'oublier...

Mais je ne cesse de penser à toi
Mais je ne cesse de te chercher...
Le temps ne suffit pas à effacer la souffrance,
Dans l'eau on ne voit pas le poisson pleurer..


 



Je ne donnerai pas l’adresse d’où je l’ai eu car c’est une amie qui ne veut pas de pub. Néanmoins j’ai tenu à mettre ce poème car il me touche pour des raisons qui me sont propre et dont je ne veux pas parler.
Merci de respecter mon choix.

Vendredi 16 septembre 2005 à 22:35

Pensez-vous que le suicide peut parfois être la meilleure solution?

Lorsque rien ne va plus...
que tout est noir...
que la vie ne semble plus vouloir nous apprendre...
quand on se retrouve seul... face à son ombre...
que l'on n'arrive plus à se regarder dans un miroir...
que le suicide nous semble être l'ultime solution...
que pensez-vous du suicide?
Vous le voyez comment?

Personnellement...
je peux voir le suicide comme une délivrance...
une sorte de soulagement...
quelque chose qui peu être "positif" si je puis dire...
qui ne dénote pas forcement du mal...
Je pense que beaucoup de jeunes se suicident, comme si c'était une sorte de "phénomène de mode" croyant qu'il n'y a pas d'autre solution pour résoudre leur problème..
croyant que c'est la solution.. il y en a beaucoup.. et je crois que l'on n'en parle pas assez...
et c'est pour ça que je me permets de faire un article à ce sujet.
Tout le monde a au moins penser une fois dans sa vie au suicide...
vouloir mettre fin à ses jours..
pour cause de: chagrin d'amour, désillusion, perte de proche...ou autre...
je crois que dire le contraire serait mentir...
certes, on est pas tous focalisé sur ça..
ce n'est pas une chose à laquelle on pense constamment
(enfin en tout cas pour la plupart des gens)...
Je ne crois pas que l'on peu dire "moi je suis contre ou moi je suis pour"...
le suicide à des effets pour la plupart négatifs...
(d'après la majorité des personnes...)
mais parfois, cela peu aider certaines personnes qui souffrent énormément...
Ce n'est pas facile de gérer ça...
vouloir mourir, mettre fin à ces jours est quelque chose de triste, cela se soigne..
bien que je ne croie pas que ça sert à grand chose..
je pense que pour guérir de ce désire de mourir, il faut en avoir la volonté..
c'est la personne qui souffre qui en est elle-même le remède.
Il faut en avoir le courage aussi, vouloir se sortir de cette situation n'est pas une chose facile..
et cela est fort compréhensible.
Certes, vous avez les "vrais" suicidaires, ceux qui sont vraiment mal, qui souffrent à un tel point que la vie ne semble plus vouloir leur apporter la moindre parcelle de joie..
mais vous avez aussi les "speudo-suicidaire" ceux qui se disent mal pour attirer vers eux le réconfort, le soutien.. ceux la ne comprennent pas la véritable souffrance...
les vrais maux de l'intention de mettre fin à ses jours..

Je terminerai cet article avec une citation de Voltaire, qui je pense le conclus bien..

"Quand on a tout perdu, quand on a plus d'espoir... la vie est un opprobre et la mort un devoir..."

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Voltaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


larmenocturne.skyblog.com


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Voilà des commentaires, que l’on avait laissé à l’époque ou j’avais m'y cet article sur mon ancien blog.

De Cyrano, posté le Mardi 10 mai 2005 à 17:05
Peut-on être pour ou contre le suicide? Peut-on avoir un avis objectif sans y avoir été confronté pour soi? N'est-ce pas différent pour chacun?
Je vois dans le suicide non pas la solution, mais une solution. Je ne sais pas si je suis un vrai suicidaire, mais chaque fois que j'y ai pensé, ce qui m'a retenu, c'est la peur.
En raisonnant objectivement, on va à la mort de toutes les façons. Pourquoi attendre? Quand on souffre et qu'on ne veut plus rien, qu'on devient un fardeau pour ses proches... Effectivement, c'est un manque de courage, mais pourquoi survivre de force quand on ne va nulle part? Pourquoi faire souffrir les autres?
Il n'y a personne d'irremplaçable dit-on. Je dis que tout le monde est irremplaçable. Mais quand quelqu'un disparait, il faut “faire avec”, disent les autres. Vaines paroles... Si on doit “faire avec” et qu'eux en sont capables, alors ils peuvent faire avec pour nous aussi.
Quelque part, si on manque de courage dans sa vie, ne doit-on pas en avoir dans sa mort ? Au moins, ce n'est pas une trahison, car on ne part pas pour un autre monde qu'on croit meilleur, on abandonne ses amis, mais c'est sans mépris, par fidélité, pour les garder a jamais comme « ceux qui sont restés jusqu'au bout », ne pas leur infliger le spectacle minable de sa propre dégradation. Leur laisser le meilleur souvenir possible... Parce qu'au final, tout ce qui reste de ceux qu'on perd, c'est les souvenirs. Un souvenir de trahison annule milles souvenirs de bonheurs, les pervertis...
Je ne crois pas le faire, je manque de courage pour ça aussi, si la mort devit venir, je me battrais, mais quand elle aura gagné et réclamera son dû, je l'accueillerais a bras ouverts. C'est dur de tenir le coup, mais peut-être y a-t-il de la dignité dans ce combat perdu d'avance...
____________________________________

De kish, posté le Mercredi 13 avril 2005 à 09:58
a mon avis le suicide n'est pas une solution ou une délivrance c'est plutot faire preuve de lacheté quand on croi que nos problème sont irrésolvable.
donc suicide=lacheté ceux qui se suicide sont ceux qui n'ont pas le courage d'affronter leur problème!!
mais c'est également faire preuve d'égoïsme car ceux qui se suicide ne pense a leur entourage, leurs amis a qui le suicide d'un ami peut gacher la vie!
donc moi je peut dire que je suis contre le suicide!




Jeudi 15 septembre 2005 à 23:42


Timide :
bien trop
Parano : quel que peut
Lunatique : non
Jaloux(se) : je pense
Fidèle : voui
Gentil(le) : on me le dit
Possessif(ve) :
un peu
Souriant(e) :
car c’est ce que l’on attend de moi
Pudique : moins mais oui
Poli(e) : oui
Dépensier(e) :
Beaucoup!
Peureux(se) :
euh...oui
Romantique : je ne pense pas mais il faut voir
Silencieux(se) : … j’en sais n’en rien
Bruyant(e) :
non
Doux(ce) :
on ne va pas dire que je suis bourrin
Alcoolique : à mes heures
Radin(e) :
sa dépend pour quoi
Égoïste :
je dois l’avouer
Tendre : yes
Menteur(se) :
quand c’est utile
Discret(e) :
je dirai qu’oui
Provoquant(e) : no

Jeudi 15 septembre 2005 à 23:21

Tu M'aimes ?



Oui



Tu Souffres ?



 Je Viens De Te Le DiRe


Dark-Manifesto

Jeudi 15 septembre 2005 à 23:09

L'esthétique gothique n'est pas aussi misérables et dépressive que les gens le pensent.

Le style gothique est tout le contraire. Il prend les choses qui paraissent misérables et déprimante et leur trouve une beauté.

Le morbide et le tragique peuvent sembler romantique voir sensuel pour ceux qui ont assez de courage pour regarder en face ce qu'ils craignent le plus.

Il étreint la décadence du monde moderne.

Les ruines d'une ville autrefois impressionnante sont réconfortantes pour l'esprit gothique.

L'idéale gothique trouve une fascination pour le macabre et tout ce qui est sombre.

L'obscurité est plus qu'un manque de lumière, c'est une énergie, une attitude.

Contrairement au reste de la société, ceux qui choisissent le style de vie gothique non pas peur du coté obscure, pas plus qu'il ne prétendent qu'il n'existe pas.

En tous cas il ne cherche pas à s'en cacher. L'attitude gothique est la reconnaissance et l'acceptation de l'obscurité.


Le gothique n'est pas la somme de tout les travers de l'homme, depuis longtemps des œuvres des grands artistes sont tournées vers le coté tragique, Racine, Anouihl, Villon, Rimbaud, Lamartine, Baudelaire, Schopenaueur, Camus, Nabokov, Maupassant, Chataubriand, la liste est encore longue .

Ce qui peut ressembler à une préoccupation de la mort est une célébration de la vie.
Il ne s'agit de suicide ou de meurtre, mais de réaliser que l'appréciation de la mort permet d'aimer la vie.

Le style, l'intelligence, la finesse imprègnent le monde gothique.

La créativité est essentielle pour les idéaux gothiques car dans cette quête de la beauté en toute chose, la sensibilité gothique refuse de se laisser à l'ennui.

Que ce soit par le biais de l'art, de la mode,de la littérature, le gothique s'assure toujours d'être intéressant.

Jeudi 15 septembre 2005 à 19:35

Je suis si fatiguée de cette existence
Etouffée par mes peurs d'enfant
Et si tu dois partir
Alors j'espère que tu partira vite
Car ta présence s'attardera toujours ici
Et ne me laissera pas seule

Ces blessures ne semblent pas vouloir cicatriser
Cette souffrance est tellement réelle
Il y en a trop pour pouvoir être effacée par le temps

Quand tu pleurais j'essuyais toutes tes larmes
Lorsque tu criais, je combattais toutes tes peurs
J'ai tenu ta main pendant toutes ces années
Mais tu as toujours tout de moi

Tu me captivais
Par ta lumière si résonnante
Mais maintenant je suis liée à la vie que tu as laissé derrière
Ton visage hante mes rêves pour une fois tranquilles
Ta voix chassait tout mon bon sens

Ces blessures ne semblent pas vouloir cicatriser
Cette souffrance est tellement réelle
C'est tellement plus que le temps peut effacer

Quand tu pleurais j'essuyais toutes tes larmes
Lorsque tu crieais, je combattais toutes tes peurs
J'ai tenu ta main pendant toutes ces années
Mais tu as toujours tout de moi

J'ai tant essayé de me dire que tu étais parti
Mais pourtant tu es toujours avec moi
J'ai depuis le début été seule

Quand tu pleurais j'essuyais toutes tes larmes
Lorsque tu crieais, je combattais toutes tes peurs
J'ai tenu ta main pendant toutes ces années
Mais tu as toujours tout de moi


My Immortal by Evanescence

Jeudi 15 septembre 2005 à 19:26



Ces sentiments que j'ai gardés en moi pendant tout ce temps,
j'ai cherché des mots pour les lui exprimer.

Mais je n'ai pas su trouver les mots justes et finalement,
je n'ai rien pu lui dire.

A jamais ce que je resens restera au fond de moi.




                                                        (basé sur un texte de Ai Yazawa)

Mardi 13 septembre 2005 à 22:44


La mort est une libération.
Pour une vie sans passions.
Des journées vide de sens.
Pour une vie d'errance.
La libération est dans la mort.
Bien plus agréable quand on dort.
Pour une vie faite de mots blessants.
Me laissant me vider de mon sang.
Mort de solitude.
C'est en prenant de l'altitude.
Que la terre nous parait plus belle.
Lorsque l'on se rapproche d'elle ...

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